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Simulez les offresQue faire si on a un refus de prêt immobilier ?
La banque peut avoir différentes raisons de décider un refus prêt immobilier. Outre le profil de l’emprunteur, un dossier incomplet et d’autres motifs peuvent être évoqués. Dans tous les cas, le souscripteur a toujours la possibilité de revenir avec une nouvelle requête ou changer d’institution financière.
Chercher à comprendre la cause du refus de prêt immobilier
Face à un refus prêt immobilier, il est important de se pencher sur la cause. Le recours possible dépend de ce motif que la banque communique à travers une lettre adressée à l’emprunteur. Ce souscripteur peut notamment avoir un reste à vivre trop faible. Peut-être qu’il a d’autres crédits en cours de remboursement. Le regroupement financier peut être envisagé. Il s’agit de rassembler tous les passifs en un seul contrat. Ce qui réduit le montant de la mensualité et redonne davantage de capacité d’endettement. Si les charges du ménage sont trop élevées, il faut trouver un moyen de revoir les dépenses à la baisse. Il faudra par exemple déménager pour payer moins de loyers. Une promotion ou un second emploi pourrait aussi améliorer les revenus et gagner en solvabilité. De toutes les manières, un meilleur profil d’emprunteur peut faire changer le banquier d’avis.
Vérifier si l’assurance emprunteur a refusé la demande
Un profil d’emprunteur peu convaincant pourrait occasionner un refus de prêt immobilier. La banque rend le verdict, mais c’est davantage l’assurance couvrant le crédit qui désapprouve la demande. Il faut chercher à savoir si c’était réellement le cas. Si oui, il vaut mieux apporter quelques changements. La cigarette augmente la mortalité et les risques encourus par les compagnies. Ces dernières excluent les fumeurs ou leur font payer une cotisation majorée. La prochaine fois qu’il faut remplir une fiche de renseignement en vue du contrat d’assurance, ce serait préférable de ne plus fumer. Le simple fait de pratiquer un sport constitue un point positif sur le profil emprunteur. Quoi qu’il en soit, le souscripteur à un prêt immobilier a la possibilité de choisir lui-même son assurance.
Revenir avec un dossier plus complet
Un dossier incomplet peut aboutir à un refus de crédit auprès d’une banque. Il arrive même que plusieurs institutions désapprouvent la requête. Dans ce cas, il serait préférable de demander des recommandations à un conseiller financier. Cet expert peut fournir un précieux guide concernant la constitution des différents documents. Les associations qui œuvrent pour la réinsertion sociale ou pour un habitat décent peuvent aussi apporter d’importants conseils. Ces structures orientent vers les créanciers qui pourrait accepter la demande, même si le requérant a un emploi précaire. Parfois, il est préférable de se tourner vers des organismes de financement qui reçoivent les personnes exclues du système bancaire classique. Ce serait encore mieux si le profil donne droit à un prêt subventionné tel que le PTZ. Cette offre cautionnée par l’État est attribuée aux ménages les plus vulnérables.
Recourir aux services d’un courtier en crédits
En cas de refus de crédit répétitif, le recours à un courtier peut aider. Cet intermédiaire connaît les institutions financières qui acceptent les cas vraiment difficiles. Ces bailleurs accordent des prêts aux profils jugés à risque par les banques. Ils exigent une garantie réelle et éventuellement une caution. De toutes les manières, la maison acquise avec l’emprunt peut toujours servir d’hypothèque. Pour avoir la certitude de payer les mensualités, le propriétaire peut aussi le mettre en location. Il pourra même jouir d’une défiscalisation grâce à cette astuce. Le courtier en crédit peut le guider dans la démarche pour bénéficier du dispositif Pinel ou ses équivalents. Ce marché consiste à louer la maison ou l’appartement fraîchement acquis pendant au moins une douzaine d’années. Cela lui donne droit à une exonération fiscale considérable.
Récupérer l’acompte versé au vendeur
Après l’offre d’achat, le compromis de vente constitue une étape importante dans l’acquisition d’un crédit immobilier. Il est souvent accompagné d’un acompte. Cette avance peut être récupérée sous certaines conditions. Il faudra par exemple présenter l’attestation de refus de prêt émanant de la banque. Cette lettre justifie la bonne foi de l’acheteur. Contrairement aux idées reçues, il suffit d’une seule réponse négative de la part d’une institution financière pour renoncer à un projet d’acquisition. Toutefois, il vaut mieux vérifier les différentes conditions du compromis de vente. L’article sur la clause suspensive peut comporter quelques réserves.